Kaoha Nui Los Addicted Ones,
Un fishing
trip à EIAO la Magnifique.
C’est un
nouveau groupe d’acharnés russes que nous accueillons ici-bas.
Sergey,
Sergei, « Mikha », Igor et Dmitry compose l’équipe de joyeux lurons
venus du froid.
Igor, Dmitry, Sergey, Mikhail & Sergeï : целлофан !!! |
Parmi eux,
on connaît déjà Igor et Dmitry qui auront déjà goûté aux charmes d’EIAO l’an
dernier. Trip que j’avais d’ailleurs qualifié de moyennement bon à l’époque,
mais qu’ils auront pourtant apprécié au point de revenir.
Preuve que
nos standards marquisiens sont hauts : moyen pour nous est bon pour nos
guerriers étrangers.
C’est donc
à l’aérodrome de Nuku Hiva que j’accueille la russian team ; les regards
sont d’acier mais les salutations sont chaleureuses. Cette chaleur toute froide
est forte appréciée par notre staff : on aime les gens simples et directs
ici bas.
Pas de
fatigue à noter, ils ont éliminé tout jetlag en passant quelques jours à Tahiti
et à Moorea.
Juste le
temps de récupérer leurs guns, munitions et autres joyeusetés de pêcheur, et
nous voici roulant en direction du quai à proximité pour embarquer sur le
mothership. Le trajet en voiture de 20 minutes est long pour nos Addicted Ones
emplis d’excitation ; que dire des 8 heures de traversée pour atteindre EIAO
…
Fort heureusement, une mer à peu près hospitalière, du bon rhum guatémaltèque et de bonnes discutions teintées de franche rigolade feront avaler la pillule de l’impatience sans souci.
Fort heureusement, une mer à peu près hospitalière, du bon rhum guatémaltèque et de bonnes discutions teintées de franche rigolade feront avaler la pillule de l’impatience sans souci.
EIAO
Il est
près de 11 heures du soir quand nous arrivons à EIAO la Mystérieuse. Les
occupants du catamaran se sont tous réveillés pour saluer l’île du bout du
monde ; ils sont silencieux, mais comme s’ils ne voulaient pas réveiller
une bête sauvage, ils laissent tous échapper
de leurs lèvres un long chuchotement « EIAAOOOO » ; puis ils
replongent dans la contemplation des contours montagneux que l’on peine
pourtant à voir dans la nuit noire.
On entend
des splashs près de nous. Un coup de projecteur ; les doggies sont en chasse et sautent
littéralement sur des bébés poissons volants. Bienvenus à EIAO.
Il est 04
heures du matin, et déjà nos amis russes qui s’étaient couchés fatigués par la
traversé, sont entrain d’armer cannes et moulinets.
Comme pour
les avertir, EIAO déclenchera de fortes bourrasques de vent qui emporteront
d’ailleurs un rodcase vide qui disparaîtra dans les eaux troubles de la petite
baie qui nous accueille.
Mention :
Spéciale
PUB ! Big KOUTAU NUI à Thierry d’Exocet Distributions ! De retour
d’EIAO, un simple coup de fil et le rodcase est remplacé illico via envoi par
avion : pas de chichi ou de « Ouin Ouin », çà c’est la classe.
CHAPEAU BAS Monsieur Thierry.
Ce sont
donc des journées venteuses qui seront notre quotidien durant ce trip de 5
jours de pêche. Autant dire que les quelques zones à l’abri seront fortement
appréciées par tous, staff y compris.
Que dire de la pêche ?
Moyen à
moyennement bon (rappelez vous nos standards marquisiens…).
Du
poisson, du gros mais pas de monstres vaincus.
La plus
grosse GT sortie sera faîte au lancer. Avec juste 1.30m, elle aura donné bien
du fil à retordre au pêcheur.
Mention :
Congratulations
à Sergey, le guerrier kazakh, qui aura combattu le poisson avec classe :
nice and slow. J’aime beaucoup ces pêcheurs expérimentés qui combattent avec
classe et respect pour l’adversaire.
Classy and
wise fight is food for soul.
Super
strong neanderthal fight is food for ego… Stupid.
Les gros
doggies seront très farceurs en se manifestant bien rarement ; ils se
contenteront juste d’exploser les bas de lignes sur des attaques surprises et
impensables.
Les GT
également seront farceuses à souhait : elles étaient bien là mais elles se
contenteront de nous tirer la langue en se marrant …
Why ?
Alors que
les conditions étaient bonnes, nous avons été confrontés à bien plus fort
et puissant que nous : Mère Nature et Père Océan !
Il y avait
beaucoup trop à manger dans l’eau : trop de poissons fourrages, trop de
bonites, trop de juvéniles, trop de micro organismes, trop de requins, juste
trop de « trop »…
Les plus
beaux poppers, stickbaits et autres jigs ne feront pas le poids face à une
simple peau de banane jetée à l’eau !!! Faut croire que les poissons
savent lire un menu … BOUHAHA !!!
Nouveauté : !!!
C’est avec
grande joie que je découvre des set ups lights de lancer dans l’attirail russe.
Ils sont
très ouverts et acceptent volontiers de courtes sessions de light shore
fishing.
Ils prendront ainsi beaucoup de plaisir en pêchant sur des rochers au milieu de l’eau ou le long de plages sablonneuses ou rocailleuses.
Ils prendront ainsi beaucoup de plaisir en pêchant sur des rochers au milieu de l’eau ou le long de plages sablonneuses ou rocailleuses.
Ils auront
droit aux phases « one cast, one fish » et, ils prendront bien soin
d’éviter les GT trop puissantes pour leurs ensembles.
Le shore fishing en milieu extrême ou simplement dangereux n’est pas leur quotidien, et ils l’ont bien intégrés : j’aime beaucoup les personnes qui connaissent leurs limites du moment et qui ne prétendent pas …
Le shore fishing en milieu extrême ou simplement dangereux n’est pas leur quotidien, et ils l’ont bien intégrés : j’aime beaucoup les personnes qui connaissent leurs limites du moment et qui ne prétendent pas …
Dire non à
un poisson est juste … une preuve d’intelligence.
J’ai
beaucoup apprécié les voir prendre plaisir sur des poissons modestes et d’un
autre registre (rockfishes) : c’est la Pêche avec un « P » majuscule.
Mention II : Dmitry, da BIG Lucky One du trip.
Dmitry m’a
fait une confidence : il est revenu aux Marquises avec un tout autre état
d’esprit cette fois-ci. Il n’est pas venu avec l’objectif unique de sortir des
monstres : son expérience passée l’an dernier avec nous, lui a fait
découvrir quelque chose de différent.
Depuis, il
croit fort au « Mana », il aime le charme brute et primitif des
Marquises, il a compris que les portes ne s’ouvrent qu’aux gens positifs et simples.
Il est donc le BIG lucky One du trip :
Il se fera
« électrocuter » deux fois par des vilaines grosses bêbêtes : de
bien gros doggies qui "crackeront" une première fois un joli stickbait tout
neuf, puis ensuite, exploseront sa belle tresse bien puissante en emportant au passage, un
magnifique et fort dispendieux popper finition abalone qu’on n’utilise qu’en
vitrine pour la plupart...
Et vous savez quoi ? Dmitry rira à chaque fois après ces intenses ½ secondes !!! Non pas qu’il roule sur l’or, mais il est simplement heureux d’avoir vécu pareilles choses.
Et ce
n’est pas fini …
L’énorme
cerise ultra rare sur le gâteau : il sera connecté 1/3 seconde à un LEGENDARY
GHOST des Marquises.
Nous
resterons une bonne dizaine de secondes bouche bée après ce que nous avons eu
la chance unique de voir : nos yeux ont bien vu, mais jusqu’à ce jour, nos
têtes ne veulent y croire !!!
Contrairement
à une majorité des pêcheurs modernes, Dmitry lancera un gros popper à l’avant
d’une petite chasse de bonites apparemment très quelconque.
Dmitry
sait qu’il faut parfois écouter nos recommandations … Hé ! Hé ! Hé !
Un
« pop » et voilà que sort de l’eau une black GT version GODZILLA !!!!!!
Pas de
gerbes ou d’explosion sur l’eau calme : tout juste le sillage d’un sous-marin
de combat de dernière génération.
L’impact
sera fort pépère mais extrêmement lourd, le leader cèdera gentillement et
finira en vrai tire bouchon.
Nous ne
parlons pas de GT de 70 kg
là … C’est bien trop petit.
Le gros popper
a dû s’égarer quelque part dans l’immense gueule de GITYZILLA.
Nous avons
donc été ultra chanceux et ultra privilégiés de « contempler » la
partie supérieure et l’arrière train d’un trésor de l’océan.
Nos yeux
ont vu mais nos esprits ne veulent y croire.
Merci Père
Océan, Merci EIAO, Merci les Marquises.
Ne rêvez
pas : combattre une telle créature est impossible avec nos outils.
(Quoique, si on s’en tient aux arguments marketing … BOUHAHA !!!)
Vaincre
GITYZILLA ? Faut arrêter de manger les champignons trouvés çà et là …. Et
puis en toute franchise, ces créatures ne sont pas des adversaires mais
simplement des oeuvres sacrées. Elles ne méritent que notre plus profond
respect.
Maintenant
si votre égo guide vos pas, alors oui ! Les plus belles femmes se
jetteront nues à vos pieds, l’or et les diamants fleuriront dans vos poches,
les puissants de ce monde nettoieront vos toilettes tous les jours, et summum
de la chose : vous serez l’élu qui a vaincu !!!
BOUHAHAHAHAHAAAAA !!!
Je le dis et je le répète : le
mana marquisien est très puissant.
Qui respecte et qui apprécie la vie, se verra ouvrir les portes.
Qui respecte et qui apprécie la vie, se verra ouvrir les portes.
Aujourd’hui
deux spots d’EIAO porte le nom de « Dmitry Point » : c’est la
tradition de l’organisation.
Conclusion EIAO :
Nous
passerons donc un gentil séjour autour d’EIAO et de sa petite sœur HATUTAA.
La pêche
sera moyennement bonne selon nos standards.
A noter
qu’un de nos speed boats, aura eu des problèmes mécaniques durant cette
première partie de trip.
A EIAO,
vous êtes loin de tout et vous avez intérêt à être très organisé et prévoyant.
Un coup de
fil avec un de nos téléphones satellites, et voici qu’arrive un bateau en
secours pour nous apporter des grosses pièces de mécanique.
Le
comportement très positif des pêcheurs est également à noter ; ils ont de
l’expérience autour du monde et acceptent complètement les impondérables liées
aux destinations extrêmes.
Ce
comportement permet ainsi une très facile « restitution des heures »
avec bonus, au lieu d’un simple « shit happens and that’s it !
».
Pour tous
les candidats aux trips low costs dans des destinations très retirées :
prenez garde !!! L’océan est très grand et on ne vous entendra pas pleurer
et/ou crier …
Tips :
- Deux
bateaux de pêche ne sont pas un luxe mais une nécessité lorsqu’on est loin de
tout.
- Payer une
misère un capitaine et son bateau est juste honteux, pathétique et très
irrespectueux.
- Pavoiser
avec du matos high end très coûteux et un compte en banque très très solide, ne
vous dispense pas de payer un prix juste et correct. C’est une question
d’éducation, de respect, de sécurité, et de pérennisation.
- Laisser du
poisson au capitaine, en guise de semi-paiement ou de pourboire, est juste une
manière forte habile et aisée, de lui dire « je t’entube ; et
avec le sourire s’il te plaît » … Garder un minimum de poisson pour le
capitaine n’est qu’un sympathique petit bonus qui doit rester occasionnel.
C’est donc
heureux et, tout de même fatigué, que notre groupe venu du froid fait retour sur Nuku Hiva
pour la seconde partie du trip.
NUKU HIVA
Il nous
aura fallut près de 11 heures de traversée pour rejoindre Nuku Hiva et, nous
passerons une journée et demi de repos bien méritée.
C’est à
l’hôtel PEARL LODGE KEIKAHANUI que nos hôtes seront hébergés pour 6 nuits.
La grande
qualité de son restaurant (YO, t’assures vraiment grave man !), son cadre,
sa piscine (!!!) et son staff, font de l’hôtel un lieu exquis pour apprécier le
petit séjour à NUKU HIVA. L’équipe russe aura apprécié à juste titre.
Entre
siesta, excursions, découvertes de l’artisanat local et courtes mini séances rigolotes de
light shore fishing, la courte période de repos fera grand bien à tous les
participants du trip.
NUKU HIVA regorge de sites à visiter, et ils en valent le détour, pour qui souhaite véritablement s’imprégner, un tant soit peu, de la culture marquisienne.
NUKU HIVA regorge de sites à visiter, et ils en valent le détour, pour qui souhaite véritablement s’imprégner, un tant soit peu, de la culture marquisienne.
Les
batteries rechargées, nous entamons alors 4 jours de pêche autour de l’île.
Plus précisément les 2/3 ; en effet, l’état de la mer ne nous permettra
pas de pêcher en toute sécurité la zone la plus « sauvage » de NUKU
HIVA.
Que dire de la pêche ?
Moyenne.
Le popping
ne donnera rien de bien consistant.
Les GT
seront aux abonnés absents ; quelques rares attaques mais franchement rien
de significatif.
Le
souci ?
Pas de
souci en fait. NUKU HIVA est une grande île et si le timing d’arrivée sur un
spot n’est pas le bon, alors cela devient difficile. Rajoutez les circuits de
bancs de poissons fourrage ou de juvéniles au gré des courants ou, tout autre
raison spécifique, et cela peut devenir encore moins évident.
Le light
casting aura été par contre bien fun. Les poissons seront nombreux et variés.
Rencontrer des pêcheurs d’expérience aimant sincèrement autant le light que le
heavy, n’est pas si courant. Et cela et très très appréciable et apprécié.
La Pêche, ce n’est pas que du gros ou du
moyen treuillé …
Merci, mes
amis russes.
Tips :
Le light
tackle est le meilleur moyen de combler les périodes molles d’une journée de
pêche. Prenez-en de la graine.
Si des
pêcheurs venant de l’autre bout du monde sont capables d’amener dans leurs
bagages un ou deux ensembles light, pourquoi pas vous ?
Il est
parfois bon d’écouter les conseils d’un guide. Entendre, c’est bien. Ecouter,
c’est mieux. Mixer conseils extérieurs et expérience personnelle, c’est juste
redoutable …
Loin de
vouloir imposer un quelconque dogme, un guide possède toujours/souvent des
petites astuces pour vous faire rencontrer un adversaire valable.
Une mer
vide est une mer morte ; et c’est tout le contraire ici bas !
Le jigging
aura été, bien au contraire, très fructueux.
Une grande
variété de prises mais pas de monstres vaincus.
De rares
ONNI (Objets Nageants Non Identifiés) se manifesteront, mais juste pour faire
plier horriblement les cannes et détruire les lignes. Et non, ce n’était pas un
gros requin ! Believe us …
Autre
nouveauté : Deep jigging !!!
C’est une
première sur un trip. Nous dédierons une nocturne au deep jigging.
La cible
principale est le URAVENA ou Oil Fish. Faisant parti des poissons de rêve pour
nos amis russes, c’est donc lui que nous traquerons dans des profondeurs de +
280m.
Les heavy
jigs (400 à 500 gr) sont donc de sortis. Le phospho est donc de rigueur et,
histoire de rester honnête et sport, on prendra soin de ne pas tricher en usant
d’appât ou de lumières de pêche en profondeur.
La bonne
humeur malgré l’heure très matinale, sera bien présente. Le vin blanc coulera à
flot pour une des équipes qui se chargera alors de l’ambiance sur l’eau, les
bateaux étant côte à côte pour la session.
Entre
coupes mystérieuses (à plus de 250 m !) et gros départs fracassants et
destructifs, nous ne remonterons que quelques thons jaunes de taille moyenne.
Nos
capitaines et moi-même regarderont avec beaucoup d’amusement nos hôtes
s’éclater et refaire leurs connections en pestant gentiment.
Mika fera
une belle démonstration de pêche locale en remontant fingers in the nose, un
beau thon d’une cinquantaine de kilos à la ligne de main.
Les russes
le surnommeront alors « MIKHANO » en référence à SHIMANO. Plus fort
qu’un Stella ! Ils n’ont pas souhaité s’essayer à la pêche locale …Pas
fous les gars !
Hélas pas
de Uravena durant la session : on n’en accrochera deux, mais on aura droit
à un décroché au jig, et à une grosse casse à la ligne de main pour Mika. Vu la
force et le ressenti sur des touches à 310 et 320 m de profondeur, il
s’agissait là de très gros Uravena(s).
On finira
tous avec un grand sourire au visage ; et c’est là le principal.
Mention :
Les paru
(poissons des profondeurs) font partis des poissons à la croissance la plus
lente de l’océan.
Alors il
serait grand temps d’arrêter les razzias à l’électrique ou autre.
Se faire
plaisir, ce n’est pas pêcher 10, 20, 100 paru : c’est plutôt de déguster
de temps en temps un excellent poisson cuisiné.
Massacrer
pour les brader à prix misérable ou, pour finalement enrichir des personnes
extérieures déjà bien assez riches, c’est pathétique.
Massacrer
pour pavoiser avec des scores, c’est pitoyable.
Comme
d’habitude, on dira que les ressources sont intarissables.
Comme
d’habitude, on dira que c’est la faute aux autres.
Si vous
aimez les paru et tout autre poisson, venez donc essayer les Marquises.
Venez les
manger ici à vrais prix non bradés et réalistes.
Venez en
pêcher quelques uns en louant les services de bateaux locaux, et sans les
entuber s’il vous plaît.
N’en
ramenez pas des glacières entières dans vos îles respectives, en prétextant la
famille ou des amis. Ils aiment les paru ? Qu’ils viennent donc ! Ils
seront accueillis avec plaisir.
Venez donc
participer véritablement à l’économie des villages.
Conclusion NUKU HIVA :
Malgré un
popping mauvais, l’équipe russe aura pu aisément deviner le réel potentiel de
l’île.
Le jigging
est clairement fort productif et ils ont pu goûter un minimum à la force de
grosses pièces pas paresseuses.
La pêche
aura donc été moyenne à fort moyenne selon nous, mais tout de même appréciée
par la russian team : et c’est bien là, la chose principale.
Mais les
Marquises ne sont pas uniquement la pêche ; c’est surtout un univers hors
du temps avec ses habitants attachants au rythme de vie si lent et cool.
Quand on
me confie que l’on est sincèrement touché par les Marquises, alors c’est pour
moi la plus belle des déclarations.
Merci à
vous, mes amis du froid.
Ze BIG CONCLUSION :
Un long,
très long trip.
Mais un
des meilleurs humainement.
Les russes
sont très attachants malgré ce que l’on peut entendre dire sur eux.
Ils
appellent un chat … un chat.
Ils ne
vous noieront pas de paroles inutiles, ou ne vous chanteront pas de berceuses
pour vous dire ce qu’ils pensent.
On aime çà
ici-bas, on aime beaucoup.
4 thumbs up for the russian spirit !!!
Ils l'ont parfaitement compris : plus qu'un fishing trip, les Marquises sont une aventure, une expérience unique.
Ils l'ont parfaitement compris : plus qu'un fishing trip, les Marquises sont une aventure, une expérience unique.
Il parait
qu’ils reviennent l’an prochain … Je ne comprends pas !!! BOUHAHAHAHAHAAAAA !!!
Et dire
qu’EIAO et NUKU HIVA ne sont pas des destinations pour le popping et les
GT !!! Les clowns, on ne vous a pas oublié !!! HIN ! HIN !
HIN !
Remerciements :
HUGE
KOUTAU NUI à EIAO, HATUTAA, NUKU HIVA et aux MARQUISES !!!
HUGE
KOUTAU NUI à la Russian Team :
Sergey, Sergeï, Dmitry, Igor et Mikhail !!!
HUGE
KOUTAU NUI au staff au grand complet : chapeau bas messieurs !!!
HUGE
KOUTAU NUI à l’hôtel PEARL LODGE KEIKAHANUI !!!
HUGE
KOUTAU NUI à nos familles respectives.
Very HUGE
BIG KOUTAU NUI à Père Océan, Mère Nature et celui qui gère tout
là-haut !!!
Merci la
vie !!!
Ainsi va
la vie aux Marquises.
L’Aventure
continue … aux Gambiers très bientôt ...
WOOF !
Très très gros respect! Les images sont magnifiques, le report est captivant, ou est-ce que je peux signer pour venir?
RépondreSupprimertout simplement magnifique .
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